La Course du Temps

Cela nous rappelle sa série Embruns qui nous entraîne en bord de mer, accompagnés de femmes raffinées aux immenses chapeaux qui admirent l’horizon en y projetant leurs rêves et leurs espoirs.

Là encore, Maori Overstreet s’amuse avec les contrastes, notamment entre les lignes cinétiques et géométriques du tableau qui donnent à ses toiles un dynamisme certain, une incroyable impression de mouvement  et les courbes de la femme, toutes en douceur.

Si les modèles de l’artiste sont souvent inspirés des années 1920, 1950 ou 1960, c’est parce que ces femmes sont finalement intemporelles et les émotions de celles d’hier sont les mêmes que celles d’aujourd’hui et certainement de demain…